Le gnou, bien qu’il ressemble plus à une vache ou à un bison, est en fait une antilope.
Des migrations risquées
A la fin de la saison des pluies, les gnous effectuent des migrations saisonnières dans le but de trouver des pâturages plus verts. Formant des troupeaux de milliers d’individus, ils sont également rejoints par les zèbres et les gazelles. Lors de ces déplacements, longs de 1500 km, on dénombre de nombreuses victimes : fatigue, traversée des rivières en crue, attaques par les carnivores.
Endurants et rapides, ils peuvent atteindre 80 km/h.
Le nom « gnou » vient du son qu’émet le mâle pendant la période de reproduction.